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Il est conçu pour composter 70 kg de biodéchets par jour soit 25 tonnes par an. Equivalent à 550 couverts/jour ou les déchets organiques quotidiens de 480 habitants.
Livré en série avec un mini-ordinateur de bord qui assure la traçabilité et optimise la performance du composteur, ce modèle est idéal pour composter sur place vos déchets de cuisine y compris les déchets carnés et verts. Notre équipe gère pour vous à distance les paramètres du composteur pour s’adapter à vos exigences de rendement et de planning (période de congés, jours d’activité, type de matière à composter).
En zones fermées ou sensibles, nous proposons en option un destructeur d’odeur (lampe UV Ozone) qui élimine toute gêne d’odeur liée à l’extraction d’air. Étanche, le composteur peut également être installé en extérieur sans abri aussi bien qu’en sous-sol sous réserve de faisabilité technique et de sécurité.
Processus :
La collecte des biodéchets se réalise avec des bioseaux de 23L (restaurant), ou des sacs kraft (particulier). Vous remplissez la machine jusqu’à 3 fois par jour en ajoutant du bois en complément (c’est la recette secrète d’un bon compost !). Après 14 jours dans la machine, le compost sort, poussé par les pales et la matière entrante. Le processus permet d’obtenir un compost très homogène et de qualité, normé NFU 44051. Il suffit de laisser maturer 8 semaines avant de le vendre ou le remettre au sol.
Nous vous proposons tout le matériel et les services requis (formations, agréments, normage)
Le compostage : la seule solution pour transformer un biodéchet en compost
Seule la matière organique transformée par un processus de compostage produit du compost.
Le traitement par sécheur, éco-digesteur, méthaniseur ne produit pas de compost.
Même s’il y ressemble, le produit obtenu en 24 h n’est pas du compost ! C’est du déchet séché, qui sous l’action de la chaleur et de la ventilation – et éventuellement des bactéries – s’est rétréci, morcelé, est devenu une « poudre ». Mais en aucun cas cette matière n’a été digérée et transformée en compost.
C’est ce que dit très clairement l’ADEME ici :
Le résidu sortant reste réglementairement un déchet : le déchet n’est pas composté, ni transformé ; il n’est que séché. Il n’est donc pas épandable hors d’une procédure administrative de plan d’épandage. Un restaurateur ne pourra donc pas l’utiliser directement sur ses espaces verts.
Le séchage n’est qu’un prétraitement et non une valorisation. Il ne vous permet pas de vous mettre en conformité avec l’obligation réglementaire de valoriser vos biodéchets. Le séchage doit donc être suivi d’une valorisation par compostage (ou méthanisation). En effet, pour que le résidu séché devienne un « produit » au sens réglementaire, il faut qu’il subisse un compostage complémentaire (sur une plate-forme agréée si présence de sous-produits animaux de catégorie 3) ou une transformation (M1 à 7 en usine agréée pour fabrication d’engrais organiques ou amendement), et que le compost obtenu soit conforme à la norme Afnor NFU 44-051. »
Traitement des biodéchets :
Avant l’arrivée du composteur nous vous proposons un audit biodéchet qui permet de caractériser le volume de biodéchets, le structurant, l’emplacement du composteur, les besoins de formation des équipes.
Production de compost
Le compost produit est comparable à un fumier de bonne qualité, il peut être normé NFU 44 051 et être utilisable en agriculture biologique.
Caractéristiques techniques :
Fabriqué en France
Poids et dimension
Surface de dalle minimale nécessaire pour installer le composteur et permettre les circulations : 5,5 m x 3 m
Flux : Système de gestion de l’aération avec extraction d’air pour optimiser le compostage.
Sécurités
Matériau :